samedi 8 novembre 2014

The Heroes of the Death: Chapitre 35

Coucou les amis!
On se retrouve aujourd'hui pour la suite de The Heroes of the Death! Je vais essayer, à partir de maintenant, de faire une illustration pour chaque chapitre. J'espère que le Chapitre d'aujourd'hui vous plaira!
Bonne lecture!
 Chapitre 35

Chiara réagit immédiatement, attrapant son ami par le col et le tirant violemment vers le sol. Zelvac voulut se relever pour réattaquer le Bombardier, mais la Loup-Garou ne lui en laissa pas le temps, lui envoyant une claque, comme elle punirait un enfant qui commet une bêtise. Elle s’écria :
« Idiot ! Ce n’est pas leur faute à eux non plus, mais à ce Maitre du Jeu psychopathe ! En ce moment même, tu réagis comme il souhaite que tu le fasses, Zelvac ! Tu lui obéis, telle une marionnette ! Comme tous les joueurs de The Heroes of the Death ! Sans nous en rendre compte, nous obéissons à ce fou en tuant et en effaçant notre humanité. Nous avons oublié qui était le véritable ennemi. C’est lui, le Maitre du Jeu, qu’il faut abattre ! Regardez le combat que nous avons remporté en nous alliant ! Seule notre coopération a permis cette victoire. »
Les joueurs fixèrent Chiara silencieusement, Zelvac compris, qui portait une main tremblante à sa joue rougie. La jeune femme avait bien changé depuis le début du jeu. Les paroles de Zelvac, lors de sa dispute avec lui, l’avaient remise en place et elle avait fini par comprendre, avec l’aide de ce combat, la voie qu’elle devait suivre. Certes, elle n’avait pas perdu sa méfiance et son mépris envers les autres joueurs, qui ne pensaient bien évidemment pas tous comme elle, mais elle croyait en une possible alliance entre eux. C’était Zeze qui lui avait donné cet espoir, la nourrissant de sa joie et de son innocence. Maintenant qu’il s’énervait ainsi, touché directement par la mort pour la première fois, c’était au tour de la jeune fille de le remettre sur le droit chemin. Elle ne le laisserait pas s’enfoncer dans la folie vengeresse sans rien faire.
Zelvac brisa enfin le silence, déclarant d’une voix hésitante :
« C-C’est aussi leur faute… I-Izzy… ne devait pas mourir. »
Il se mit à hoqueter, les larmes envahissant à nouveau ses joues. Chiara se baissa, prenant son visage entre ses mains, et murmura :
« Oui, ce n’est pas juste qu’Izzy soit morte, mais tuer Arthur ou Pierre ne le serait pas plus. Et puis, tu rendrais sa mort inutile si tu les assassinerais. Elle s’est sacrifiée pour tous nous montrer l’exemple, pour nous montrer que nous ne gagnerons que part la collaboration. »
Un nouveau grand silence s’installa, les autres joueurs méditant ses paroles. Léozangdar prit la parole à son tour :
« Il est vrai que ce combat était impossible sans coopération, mais c’est justement ce qui m’intrigue. La victoire n’aurait jamais pu être possible sans posséder au moins deux Mages différents, une Barde, un Elfe, un épéiste, un Bombardier et un Loup-Garou dans son équipe. A moins d’être un Métamorphe aux innombrables transformations, ce combat est voué à l’échec si l’on est seul. Cela me ferait donc penser que le Maitre du Jeu a préparé ce boss spécialement pour nous. Mais cela voudrait-il dire qu’il souhaite notre alliance ? Et que, en nous proposant la victoire, il ne veuille pas immédiatement en finir avec nous ? Quel est son but, voudrait-il simplement jouer encore un peu avec notre esprit ou a-t-il des plans plus développés ? »
Les joueurs hochèrent la tête et le Chevalier continua :
« Mais alors, en nous alliant, nous lui obéirons une fois de plus. Comment faire pour se débarrasser de ce rôle de marionnette ? Chacun de nos mouvements parait attendu par cet homme. Nous n’arrivons pas à le surprendre, ni à déroger à ses règles. C’est un véritable enfer, finit-il en soupirant. »
Personne ne paraissait avoir de réponses à ces questions, et ils ne savaient plus quoi faire, aucun des choix ne leur parant correct. Bianca prit alors la parole :
« La seule chose à quoi lui sert notre alliance, est qu’elle nous rend faible quand nous perdons des proches. Mais si nous restons forts et que nous ne changeons pas notre morale en fonction de ces morts, il n’y a aucun désavantage à coopérer ! C’est l’un des plus grands dangers pour lui, que nous nous rebellions ensemble !
-        Même si tu as en partie raison, rétorqua Illyana, ta dernière phrase est fausse. Aucun danger ne le guette. Si nous devenons trop menaçants pour sa vie, il lui suffira d’entrer une seule commande pour que nous disparaissions tous. C’est pour cela que je veux bien que nous nous allions pour avancer plus vite dans ce jeu, mais je ne vois pas l’intérêt de rester en équipe à la fin. Si personne ne s’entre-tue au combat final et que nous nous rebellons, il s’occupera lui-même de mettre fin à nos vie, de façon plus ou moins fair-play. »
Siphano se racla la gorge et, en s’avançant, conclut :
« Alors, comme le dit Illyana, nous n’avons qu’à nous allier jusqu’à la fin. Une fois le boss final mort, nous verrons ce que nous ferons en fonction des circonstances. Je ne pense pas que ce que nous avons vécu jusque-là suffise pour que nous nous fassions tous confiance, mais nous pouvons tout de même travailler en équipe. Quelqu’un s’oppose à cette proposition ? »
Aucun joueur ne leva la main, tous voyant les avantages de cette association. Mais Brioche demanda, interrompant le silence :
« C’est bien beau tout ça, mais comment allons-nous faire pour avoir la porte vers l’autre monde maintenant que Jahl’ir est mort ? »
« Pour une fois, le biscuit n’a point tort, ajouta Seneca, ce serait agaçant de nous être coincés d’une telle façon. Peut-être que le fameux Maitre dont vous parliez avait prévu cela, et souhaitait vous entraver de cette façon ? »
Ses coéquipiers se figèrent, ils n’avaient pas pensé à cela. Comment allaient-ils continuer le jeu, maintenant ? Ils n’avaient tout de même pas bloqué le jeu entier à cause d’une simple dérogation aux règles du Roi ? Surtout que le boss paraissait être prévu comme un élément obligatoire.
Les joueurs décidèrent finalement de se diriger vers le Palais des Mers, où ils trouveraient peut-être quelques indices.
Alors qu’ils entraient enfin dans le magnifique château, une voix faible et hésitante, au ton cristallin, s’éleva derrière eux, de l’entrée du Palais :
« E-Excusez-moi ? Vous… pourriez m’accorder votre attention… un instant ? »
Tous les joueurs se retournèrent, découvrant une petite sirène aux courts cheveux pistache, qui ondulaient abondamment et cachaient légèrement ses grands yeux opalins. Sa longue queue de poisson azurée était couverte de minuscules motifs qui brillaient d’un éclat émeraude, et sa légère poitrine était soulignée par un bikini de coraux bleu ciel. Le regard baissé et les mains cachées derrière son dos, elle murmura d’une petite voix :
« J-Je suis la… Princesse des Mers, Cordélia. Je suis venue me présenter à vous car… car vous avez abattu le détenteur du trône. Je dois donc prendre sa place dorénavant… mais un Prince des Mers doit aussi régner à mes côtés. Et… et je dois l’élire… parmi les vainqueurs du combat contre le Roi… »
La jeune fille, qui ne devait pas être beaucoup plus grande que Seneca, bougeait nerveusement ses nageoires, relevant craintivement le regard pour mieux observer les joueurs. Siphano s’approcha d’elle et, mettant un genou à terre pour être à sa hauteur, il déclara :
« Je m’étonne que vous veniez nous parler, après que nous ayons tué votre père.
-        Mon père ? demanda l’enfant intriguée, pardonnez-moi, mais vous vous trompez. Jahl’ir… n’est pas mon père. C’est un tyran qui régnait sur ce pays, maltraitant ses sujets et les obligeant à regarder des spectacles horribles… Il aimait le sang et avait réussi à donner à la plupart des habitants ce… goût pour le massacre. V-Vous… nous avez libérés. C’est pour cette raison que… nous voulons offrir la couronne royale à… l’un d’entre vous. Mais… Mais, je ne sais pas comment vous départager. Accepteriez-vous de… m’accompagner jusqu’à la salle du trône, où se trouve ma conseillère ? »
Le jeune homme lui sourit en hochant la tête, faisant signe à ses amis de le suivre. Ils avaient peut-être trouvé la suite du jeu. Le petit groupe traversa donc les nombreux et magnifiques couloirs du château, découvrant toujours de nouvelles peintures ou gravures aux couleurs éclatantes et aux matériaux précieux. Chaque pièce racontait une histoire sur le peuple marin, mêlant quêtes épiques et tristes évènements à de beaux récits d’amour ou des fêtes joyeuses. La Princesse des Mers passait devant sans relever le regard, ses mains s’agitant toujours avec nervosité. Ses légers mouvements de nageoire étaient gracieux, mais rapides, comme si elle essayait de fuir ceux qui la suivaient.
Ils arrivèrent enfin à la salle du trône, qui n’avait pas perdu de sa superbe, s’avançant vers une grande sirène aux traits sévères et au regard énigmatique. Quand elle vit la petite fille arriver, la femme fit une révérence, puis l’interrogea :
« Vous avez trouvé les élus, Majesté ?
-        Les voilà, Naïda. Mais ils sont trop nombreux… je ne sais pas qui choisir pour donner un bel avenir à mon peuple. Pourrais-tu m’aider, comme tu l’as fait tant de fois ? »
La conseillère opina, s’avançant vers les joueurs et les sondant de son regard indéchiffrable. Elle demanda d’une voix forte et assurée, les toisant avec froideur :
« Vous sentez vous capable de diriger le Royaume en compagnie de la Princesse ? »
Aypierre, s’avançant, répondit :
« Nous ne souhaitons pas diriger un royaume, nous sommes des voyageurs partis pour une longue quête. Aucun d’entre nous ne peut donc accepter la tâche que vous nous proposez.
-        Des… voyageurs ? demanda Cordélia, inquiète, C’est embêtant, n’est-ce pas, Naïda ? Qu-Qu’allons nous faire pour l’avenir du royaume maintenant ? Co-Comment puis-je régner sans l’aide d’un Prince ?
-        Calmez-vous, Majesté. Ce n’est pas un problème, je pourrais vous conseiller. Mais les gardes-sirènes ne sont plus sous notre contrôle et j’ai peur de ne pas parvenir à vous protéger. Le peuple, encore aveuglé par la magie de Jahl’ir, est furieux. S’il devait vous arriver malheur… »
La femme poussa un soupir, passant une fine main dans ses cheveux grisâtres, et se figea un instant, paraissant réfléchir. Un éclat passa dans ses yeux sombres et elle releva la tête, attrapant les mains de la Princesse.
« Écoutez-moi bien, Votre Altesse, le Royaume des Mers est bien trop dangereux pour vous ces derniers temps. J’aimerais que vous suiviez ces voyageurs pour qu’ils vous emmènent loin de ces terres malveillantes. Au lieu d’un Prince, choisissons un Gardien. Qu’il vous protège et que vous l’aidiez dans sa quête jusqu’à ce que le calme soit rétabli en cet endroit.
-        Être à nos côtés n’est pas beaucoup plus sûr, rétorqua Illyana, Elle va prendre de nombreux risques en venant avec nous, êtes-vous certaine de votre choix ? »
La femme hocha la tête, résignée, puis désigna à Cordélia les combattants, lui faisant signe de choisir celui qu’elle aimerait avoir à ses côtés. La fillette se balança de droite à gauche, hésitante. Son regard passa sur tous les visages des joueurs, étudiant leurs expressions et les classant rapidement.
Naïf. Trop gentil. Pas assez sérieux. Innocente. Froide. Brusque. Déterminé. Téméraire.
La Princesse des Mers soupira. Personne ne lui paraissait idéal à cette tâche. Tout à coup, elle aperçut celui qui serait parfait. Celui qui pourrait la guider.
Courageux. Prudent. Doué. Sérieux. Attentionné. Magnifique…
L’enfant devint écarlate à cette pensée. Secouant la tête pour remettre ses idées au clair, elle plongea à nouveau ses prunelles dans ces deux lacs aux eaux saphir, brillant comme des étoiles. Un fin sourire apparut sur son visage et, s’approchant du Guerrier surpris, elle déclara :
« J-Je… vous choisis. Accepteriez-vous de devenir mon Gardien ? »
Siphano resta bouche bée. Il ne s’attendait pas à ce qu’elle le choisisse, lui. Qu’avait-il de plus que les autres ? Par rapport à quel paramètre l’IA avait-il prit la décision de s’associer à lui ?
Une autre question le dérangeait. Allait-il pouvoir accomplir cette quête et parvenir à protéger cette fillette en plus de Brioche et Bianca ? Il jeta un regard à ses deux amis. Brioche se tenait collé à Illyana, la dévorant des yeux comme si seule elle existait. Bianca, elle, tenait la main de Léozangdar serrée dans la sienne. Le Guerrier sentit qu’il ne protégeait plus vraiment ces deux-là, même s’il ne les abandonnerait jamais aux autres joueurs. Il tourna la tête vers Cordélia qui le fixait de ses yeux suppliants, si faible et timide. Il ne pouvait la laisser ainsi, même si elle n’était qu’un programme. Il comprenait enfin ce qu’avaient ressenti Illyana ou Brioche en faisant connaissance avec leurs compagnons IA. Ces êtres, même s’ils étaient irréels, réagissaient comme des humains et vivaient la situation dans laquelle ils se trouvaient. Ils possédaient des sentiments.
Saisissant délicatement la frêle main de la petite sirène et s’accroupissant à ses côtés, il dit d’une voix douce et assurée :
« Je serais votre Gardien, Cordélia. Mon nom est Siphano. »
La Princesse lâcha sa main et se serra contre lui, enfouissant son visage rond dans le cou du Guerrier.
« M-Merci, Siphano… »
Le visage de la conseillère Naïda s’éclaira un bref instant d’un sourire, puis revenant à son humeur fermée, elle ouvrit ses paumes, y faisant apparaitre deux couronnes d’argent serties de pierreries bleues. Elle les plaça délicatement sur la tête des deux élus qui s’étaient séparés, marmonnant des mots incompréhensibles. Soudain, leurs tiares s’illuminèrent d’une aura bleuâtre qui enveloppa tout leur corps et éclaira la salle d’une lumière mystique. Le temps parut s’arrêter, figeant les autres joueurs.
« Vous êtes liés par le Pouvoir des Mers, désormais, déclara Naïda, Où que tu ailles, Gardien, la Princesse t’y suivra, quels que soient les obstacles. Tu seras aussi protégé par le Pouvoir, qui te permettra, une unique fois, d’échapper à une blessure mortelle. La Princesse, malgré son apparence enfantine, est très puissante. Elle t’aidera dans ta quête. Mais en échange, tu devras veiller sur elle et la sauver même si cela met en danger ta vie. Si tu romps ce pacte, alors les Mers te tueront. Prends soin d’elle, Gardien. »
Puis, la lueur bleutée disparut, rendant à la salle sa teinte habituelle. Les coéquipiers du Guerrier secouèrent leur tête ou clignèrent des yeux, comme s’ils étaient sortis d’un sommeil profond.
« Ils n’ont pas entendu les paroles de Naïda » pensa Siphano.
Mais les joueurs ne parurent pas se rendre compte de leur moment d’absence et Léozangdar demanda à la conseillère :
« Est-ce vraiment dangereux de rester au Palais ? Il nous faudrait au moins une journée de repos pour nous remettre de tout cela. Certains d’entre nous ont enchainé plusieurs combats et sont blessés et fatigués.
La sirène aux yeux sombres poussa un soupir.
-        Je pense que je pourrais demander aux Mers de protéger ces lieux des attaques jusqu’à demain soir. Ils accepteront, puisque vous avez banni les ténèbres de ce Royaume. Vous pouvez utiliser les chambres qui vous ont été attribuées auparavant et un diner vous sera servi ce soir. Si vous manquez d’équipement, la salle des armes du château est à votre disposition, elle contient aussi quelques potions de soin. Reposez-vous bien, je pense que votre route sera encore longue. »
Elle se détourna d’eux, s’éloignant lentement en faisant flotter ses cheveux aux reflets d’argent derrière elle. Les joueurs se dispersèrent à leur tour, chacun souhaitant oublier les évènements passés pendant quelques heures.
Chiara releva son ami en le tenant toujours dans ses bras. Elle murmura à son oreille :
« Va dormir un peu, Zeze. Ca va te remettre les idées en place. Mais surtout, ne fais pas de bêtises.
-        Comment le pourrais-je ? demanda-t-il d’une voix lasse, C’est une safe zone ici.
-        Tu leur en veux toujours ?
-        Pas vraiment… Je sais qu’ils ne sont pas coupables de sa mort. Mais… Mais c’est tellement dur d’assumer cela, sans faire porter la faute à personne. Je… pensais que m’attaquer à eux me soulagerait de ma peine. Je souhaitais faire comme tout le monde dans ce jeu. Rendre quelqu’un coupable et le tuer. C’est tellement plus simple. Mais je sais que jamais je n’en serais capable. Même si tu ne m’avais pas arrêté, je n’aurais pas levé la main sur Arthur. Je ne suis pas comme ça, tu le sais bien.
Son menton se mit à trembler, les sanglots montant dans sa gorge.
-        J’ai voulu leur faire peur. J’ai voulu me prouver que j’en étais capable. Que je savais tuer sans remords. Mais, non, je suis faible. Et cette faiblesse me mènera à ma perte. Comme sont morts tous ceux qui voulaient la paix avant moi, je périrais moi aussi. C’est évident.
-        Arrête de raconter des sottises ! s’exclama la jeune femme, Tu n’es pas faible ! Ne pas être un assassin ou un égoïste signifierait donc être faible ? Tu es fort, Zelvac. Cette force réside dans ton honnêteté, dans ta bienveillance et ton innocence. Tu ne…
-        Tu te fiches de moi, Chiara ?! la coupa-t-il, Ce ne sont pas ces qualités qui me feront survivre en ce monde. Il faut s’adapter à cet environnement, mais je n’en aurais jamais la capacité. Et tout ce qui ne s’adapte pas, disparait. C’est la dure loi de la nature. Je n’y échapperais pas. »
Sans lui laisser le temps de répondre, le jeune garçon sortit de la salle en courant, des larmes s’échappant de ses yeux. La Loup-Garou voulut l’attraper et le retenir, mais elle laissa retomber son bras le long de son corps en poussant un soupir.
Quand est-ce que tout cela se terminera enfin ?

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui! Pour l'illustration de ce chapitre, voici un dessin de Cordélia, la Princesse des Mers:

J'espère que ce dessin vous plait! Dites-moi ce que vous en pensez dans les commentaires!
On se retrouve bientôt pour la suite! 
Besoux! <3

8 commentaires:

  1. Bon, je n'en suis pas encore à là, mais c'est juste pour te dire que je suis ravie de ton retour ! La suite continue youpiii !
    Zoé.

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    1. Je suis contente d'avoir de nouveaux lecteurs! Merci! ^^

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    2. En fait, je t'ai connu par le biais de Lucile (qui m'a dit être dans ton collège je crois si j'ai bien compris) et ton feuilleton est juste wonderful !

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    3. Je suis un peu en retard pour te répondre, excuse-moi ^^.
      Encore merci pour tous ces compliments! Et oui, en effet, je suis dans la même classe que Lucile.

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    4. Oh oui, au fait !
      Je sais que ça fait déjà un bout de temps mais merci beaucouuuuuup pour les "Bezoux de la Geekette" sur la lettre de Lucile ! Ca m'a fait super plaisir! *w*

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  2. Un mois seulement ? T'est malade ? x)
    Alors là, tu m'épate... tu as réussi à oublier des mots à certains endroits... (et comme je veux que tu passe ton temps à les chrcher, je ne vais pas te dire où il en manque. Mouhahahaha !)
    Ma logique des couples évolue en permanance... et tu me donne de quoi la travailler maintenant. Super ! (Tu ne l'aura qu'à la fin de mon commentaire)
    Alors, je n'imaginais pas ça comme ça... Chiara ? Elle peur fait confiance ? Elle peur propose de s'allier ? Décidément, tu est vraiment malade. Tu as fais que chiara est une personne super méchante et assez associable et là, tu nous la montre qui demande aux autres de s'allier... Ça va pas bien.
    Après, je pensais que Seneca allait rester pour être le prince de la princesse (Logique ?) Mais nan. Et pourquoi Siphano ? Aypierre aurait mérité ce ''pouvoir'' pour ne pas mourir ! Siphano on s'en fou s'il meurt ! (Je sens que je vais avoir leclub des adorateurs de Siphano sur le dos...) Mais quelle tête de mule ce Zelvac ! Il a pas compris que ces qualitées que Chiara a dictées sont celles qui faut avoir si tu ne veux pas être la marionnette du maître du jeu...
    Il est (presque) pire que moi. Je dis bien presque parce que pire tête de mule que moi, ça n'existe pas...
    C'est parti pour la logique des couples !
    Siphano a enfin une amoureuse ! Il va enfin pouvoir se débarrasser de se jalousie de Brioche (et de Bianca par la même occasion...)
    Aypierre on en entends plus parler. Faut dire qu'un coeur brisé, ça ne se répare pas aussi vite que ça...
    Chiara et Zelvac sont en pleine scène de ménage
    Brioche est amoureux de'Illyana mias, malheuresement, ça n'ai pas l'air réciproque : ''Brioche se tenait collé à Illyana, la dévorant des yeux comme si seule elle existait.'' Que fait Illyana ?
    Tu commence à m'en coller un coup sur les couples... j'ai pas grand chose de potable dans ce chapitre...
    Vivement la suite !
    Poutous <3

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  3. L'attente n'a même pas duré un mois! T'exagère! x)
    A part à "Il ne pouvait la laisser ainsi" où j'ai oublié le "pas", je ne vois pas d'autres mots manquants après la quatrième relecture. Tu pourrais me dire ce qui manque?
    Pour Chiara, j'ai bien appuyé sur le fait qu'elle méprise toujours les autres joueurs. Elle demande cette alliance, car elle subira bien moins de pertes, et avancera bien plus vite dans le jeu. Il y a aussi la possibilité qu'elle s'en sorte sans avoir a tuer tout le monde, juste en écrasant le MDJ, qui l'attire. On voit bien qu'elle ne fait pas confiance aux autres dans la phrase "Certes, elle n’avait pas perdu sa méfiance et son mépris envers les autres joueurs".
    Pour le paragraphe de la Princesse: Je n'ai pas crée Seneca pour m'en débarrasser deux chapitres après. Cordélia non plus. Sinon, je ne leur aurais pas accordé une facon de parler et un caractère à part.
    Et, pourquoi Siphano? Parce qu'a la base, Siphano est mon personnage principal. C'est avec lui que démarre l'histoire. Je voulais remettre en avant ce personnage. Aypierre, lui, a deja eu son heure de gloire avec ses derniers combats et la mort de ses coéquipiers.
    Ta logique de couples est pas mal! Tu m'as tuée avec la partie de Brioche et Illy! x)
    Bref, merci d'avoir mit un commentaire ma Kikouchou!
    Besoux! <3

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  4. Pourquoi t'est pas morte alors ? x)
    J'ai la flemme de les rechercher...
    Mais Chiara a l'air de leur faire un peu plus confiance comme même...
    Bah, on ne sais jamais, Seneca est la princesse peuvent être juste des perso troisièmes...
    Y'a plus vraiment de perso principal dans ton histoire là... x)
    Ma logique des couples est toujours géniale !
    De rien mon Ilonounette !

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