lundi 7 juillet 2014

The Heroes of the Death: Chapitre 32

Bonjour à tous!
Après environ deux semaines de pause, je suis de retour pour vous poster l'un de mes plus longs chapitres de The Heroes of the Death! J'espère qu'il vous plaira! Bonne lecture:
Chapitre 32

Le jour se levait lentement au-dessus des océans, les rayons du soleil éclairant le fond des eaux. Siphano était allongé sur son lit, les yeux grand ouverts. Il avait mal dormi. Son esprit était tiraillé par la peur et la nervosité. Ce combat l’inquiétait. Beaucoup. Cela n’allait pas être de simples duels. Il en était certain. Le Maître du jeu ne faisait jamais les choses simplement. Qu’allait-il encore se passer ? Qui allait encore mourir ?
Il avait peur que l’un de ses amis soit choisi. Que pouvait faire Brioche, seul, contre un énorme monstre ? Le Guerrier se maudit intérieurement. Comment avait-il pu accepter de le mettre autant en danger alors qu’il le savait pas encore prêt ? Ce garçon ne savait même pas tenir correctement une épée. Et puis, Bianca serait bien trop effrayée pour combattre. Elle avait besoin de lui ou de Léo pour l’accompagner. Même le Mage de la Lune n’était pas un très bon guerrier. Siphano avait fait une énorme faute en acceptant le défi si tôt. Seuls Illyana et lui étaient capables de se défendre dans un combat en solo.
Le Guerrier se leva de son lit en soupirant. Immédiatement, la fatigue de la nuit blanche lui retomba sur les épaules. Il fut pris d’un horrible mal de tête et son ventre se noua. L’appréhension l’affaiblissait terriblement. Il savait que ses amis étaient son plus gros point faible. Point faible que ne possédait pas Illyana. Le jeune homme serra les dents à la pensée de la Métamorphe. Il ne l’aimait pas. Du tout. Elle avait fait pleurer son meilleur ami, trahi son ancienne équipe pour un simple item. Cela le répugnait de voir Brioche la regarder avec admiration. Mais dorénavant, le bonhomme de pain d’épices paraissait avoir compris, qui elle était réellement. Le Guerrier allait pouvoir se débarrasser d’elle facilement.
Sortant de sa chambre d’un pas hésitant, il se dirigea vers la salle du trône où ils devaient tous se réunir. Dans les couloirs, il vit Bianca qui marchait avec Léozangdar. Elle portait, elle aussi, le visage de l’inquiétude. Mais le Mage de la Lune, lui, souriait et la serrait contre lui pour la rassurer. Il lui murmurait à l’oreille et faisait peu à peu renaitre le sourire sur les lèvres de la jeune fille. Siphano sentit un étrange pincement au cœur. L’amertume apparut en lui, s’ajoutant à la nervosité. Il secoua la tête, tentant de chasser ce sentiment dérangeant. Pourquoi cela lui faisait-il du mal de la voir rire en compagnie de Léo ? Il le savait, au fond de lui, mais ignora la voix qui murmurait dans son esprit et continua son chemin.
Il arriva enfin dans l’immense salle de trône. Elle était bien plus imposante que celle de banquet. Les murs n’étaient non pas peints, mais ornés de gravures racontant l’histoire du peuple des Mers et le sol serti de pierreries bleutées brillait comme un miroir. Un tapis, aussi fin que la toile d’une araignée, menait jusqu’au gigantesque trône au fond de la salle, sur lequel était assis le roi Jahl’ir. Des gardes-sirènes aux armures d’argent étaient postés dans toute la salle, surveillant les alentours avec attention.
Siphano avança vers les autres joueurs, bientôt rejoint par les deux Mages qui étaient les derniers manquants. Le roi, voyant qu’ils étaient au complet, dévoila ses dents éclatantes dans un sourire factice, digne d’une publicité. Il déclara de sa voix agaçante et faussement enjouée :
« Vous voilà donc enfin tous réunis ! Nous allons pouvoir débuter. Je vais d’abord vous annoncer les heureux élus, puis nous commencerons les festivités. Je ne peux faire attendre mes sujets, ils sont déjà tous terriblement excités à l’idée de voir des duels à mort se dérouler. Vous découvrirez au dernier moment vos adversaires, cela n’en rendra le combat que plus savoureux. »
Le Guerrier haïssait au plus haut point cette façon de parler, comme si la mort n’était rien. Comme si tout cela était un jeu. Serrant les poings, il se reconcentra sur les paroles du roi :
« Alors, mes trois chers combattants ont décidé de choisir trois personnes spécifiques. Ces personnes sont… Illyana… »
« NON ! »
Le hurlement coupa le roi, qui jeta un œil mauvais à Brioche.
« Je ne t’ai rien demandé, à ce que je sache, voyageur.
-        Elle ne combattra pas ! Je ne le permettrais pas ! »
Le bonhomme de pain d’épices avança vers le roi, se montrant le plus menaçant possible. Mais la Métamorphe attrapa son bras et lui dit :
« Inutile, Brioche. Je souhaite me battre. Je m’en sortirais bien mieux que toi en duel. »
Le garçon se retourna et la prit tendrement dans ses bras.
« Mais je ne veux pas te perdre, Illy. Pas maintenant. »
Il approcha ses lèvres des siennes, mais elle détourna la tête en le repoussant doucement.
« Je suis désolée, Bri’. »
Elle s’éloigna de lui, puis tourna son regard vers le roi, paraissant vouloir éviter celui de Brioche. Le bonhomme de pain d’épices baissa la tête et retient les larmes qui lui montaient aux yeux. Il ne comprenait pas. Ne l’aimait-elle pas ? Mais pourquoi l’avait-elle embrassé ?
Le roi des Mers soupira théâtralement et déclara :
« Oh, quelle scène émouvante. J’en pleurais presque. Quel dommage que ton amour ne soit pas partagé, pauvre voyageur. Enfin, comme je disais, les élus sont Illyana, Siphano et Azenet ! »
Siphano recula en entendant son nom, mais Azenet, lui, se vida de toute couleur et tomba à genoux. Il ne parvint plus à prendre de l’air, l’annonce bloquant sa gorge. Lui. Choisi. Ses membres commencèrent à trembler et des larmes apparurent dans ses yeux. Combattre. Faire couler le sang. Sa vue se flouta, et il ne vit plus que des formes indistinctes bouger devant lui. Il sentit des mains le prendre par les épaules. Il entendit une douce voix rassurante résonner dans son esprit. Il ne comprenait pas le sens de ses mots. Il ne comprenait plus rien. Tout était perdu. Tout était fini. Il avait été choisi. Il était mort.
La voix retentit à nouveau, glissant entre ses idées noires. Eclaircissant son esprit. Elle le guida lentement hors du tunnel de ténèbres.
« Azenet, tu dois te battre. Tu ne peux pas abandonner. »
Elle avait raison. C’était si lâche. Il devait montrer à Aypierre, à Theak, qu’il n’était pas un incapable. Il devait continuer.
« Je ne te laisserais pas tomber. Je te le promets. »
Qui parlait donc ? Il ne le savait pas. Il sentait simplement qu’il devait lui faire confiance.
Le Fantôme émergea lentement de son inconscience. Il ouvrit les yeux, regarda autour de lui, tenta de trouver à qui appartenait la douce voix grave. Ses yeux se posèrent sur Pierre qui le tenait dans ses bras. Le Chevalier sourit et murmura :
« Ne t’inquiète pas. Il ne t’arrivera rien. Je te protégerais, coûte que coûte. Fais-moi confiance. »
La voix. C’était lui. Il l’avait sauvé, comme à chaque fois. Azenet sourit faiblement à son tour. Il se releva lentement, s’appuyant sur son ami. Mais dès qu’il fut debout, deux gardes s’emparèrent fermement de lui et l’arrachèrent à Aypierre. Illyana et Siphano furent aussi brusquement attrapés et menés aux côtés du roi. Celui-ci annonça :
« Amenez les combattants jusqu’à l’arène, n’oubliez pas de leur donner leurs armes avant qu’ils n’entrent en scène. Les voyageurs restants, suivez mes sirènes, elles vous guideront jusqu’aux autres spectateurs. »
Alors que les joueurs choisis sortaient de la salle à contrecœur, Brioche se jeta en avant et bouscula les gardes qui tenaient Illyana. Il glissa sa main dans la sienne. La Métamorphe lui jeta un regard surpris et incompréhensif. Mais avant que les sirènes le poussent brutalement en arrière, il chuchota :
« Je t’aime. »
Alors que les gardes s’emparaient à nouveau de la jeune fille et la tiraient violemment vers la sortie, elle pressa contre sa paume l’objet que lui avait discrètement donné le bonhomme de pain d’épices. Elle sentit la lame de l’item s’enfoncer dans sa peau. Il lui avait donné un couteau. Mais pour quelle raison ?

Les créatures marines aux lourdes armures les firent avancer jusqu’à une grande arène de marbre vert, au style rappelant les amphithéâtres romains. Ils entrèrent par une porte de coquillages et se dirigèrent jusqu’à une petite salle. Sur les murs de cette pièce étaient disposées de nombreuses armes et armures. Une belle sirène aux longs cheveux dorés et aux yeux améthyste s’approcha d’Illyana. Elle dit d’une voix mélodieuse, mais froide :
« Tu seras la première à combattre, puis ce sera le tour du petit brun qui pleure tout le temps et enfin le Guerrier aux beaux yeux terminera le spectacle. »
La créature marine désigna une armure dorée à la Métamorphe.
« Prépare-toi. Tu entres en scène dans quelques instants.
-        Pas besoin de tout ça. File-moi simplement une de tes écailles et je serais prête. »
La garde fronça les sourcils, intriguée, puis haussa les épaules et arracha l’une de ses précieuses écailles roses. Elle la tendit vers Illyana qui la prit et ferma les yeux. Soudain, l’aura rougeâtre apparut autour d’elle. Ses pieds se transformèrent en une longue queue de poisson pourpre et ses cheveux s’allongèrent, prenant une belle teinte d’ébène et de sang. De fines nageoires noires apparurent sur ses bras et des écailles dorées couvrirent ceux-ci.
La lumière disparut et Illyana ouvrit les yeux, transformée en une magnifique sirène. Pourtant, contrairement à ses métamorphoses habituelles, elle n’était pas la copie exacte de la garde. Elle était simplement de la même espèce. La Métamorphe s’avança vers la créature marine qui la regardait avec ébahissement.
« Donne-moi une épée. »
Sa voix n’était que mélodie et enchantement, rendant la jeune fille d’autant plus belle. La sirène, sans un mot, lui tendit une grande lame dorée. Illy la remercia et glissa l’arme à sa ceinture, aux côtés de la belle dague noire que lui avait donnée Brioche. Siphano, apercevant le couteau, se jeta sur elle et attrapa son poignet en hurlant :
« Qu’est-ce que tu fais avec MA dague ? Tu voles en plus maintenant ? 
-        Ta dague ? demanda-t-elle étonnée, Mais… C’est Brioche qui m’a offert ce couteau…
-        Arrête de raconter des conneries. Tu as déjà assez mentit comme ça, Illyana. Cette arme m’appartient et tu le sais très bien.
-        Non. C’est Bri’ qui me l’a donnée, il y a quelque instants. Il te l’a surement volée pour me l’offrir. Mais je ne sais pas pourquoi il a fait cela. »
Le Guerrier regarda longuement la jeune fille dans les yeux, puis la lâcha en soupirant. Elle paraissait sincère. De toute façon, il ne pouvait lui arracher cette arme, la garde-sirène réagirait immédiatement. Elle paraissait comme hypnotisée par la beauté d’Illy. De plus, il n’avait pas trouvé l’utilité spéciale que possédait cette dague donnée par Zelvac. La Métamorphe n’avait qu’à la garder, elle ne lui servait pas, pour l’instant.
Tout à coup, la sirène aux cheveux blonds posa une main sur l’épaule d’Illyana et lui dit avec respect :
« C’est à votre tour. Bonne chance. Et surtout, ne sous-estimez pas l’ennemi. »
La joueuse lui répondit par un hochement de tête, puis nagea jusqu’à la porte. Deux gardes l’ouvrirent et elle entra dans la gigantesque et fabuleuse arène.
Quand elle passa l’entrée, elle sursauta en apercevant la foule en délire qui l’entourait. Des milliers de créatures diverses et variées criaient, applaudissaient ou sautaient de joie. Des dauphins, des tritons, des poissons, des hippocampes et même des étoiles de mer géantes. Les gardes royaux entouraient l’arène, veillant à ce que les évènements se déroulent comme prévu. D’un côté des gradins se trouvait une grande loge dans laquelle était assis le Roi Jahl’ir, avec à ses côtés, les autres joueurs. Elle vit Léo lui faire un bref signe d’encouragement. Prenant une grande inspiration, elle s’avança vers le centre de la scène.
Mais quand elle aperçut son adversaire, son cœur manqua de s’arrêter.
Ethan.
Illyana tenta de cacher sa surprise, mais la peur lui prit au ventre. Ses mains commencèrent à trembler. Tout le monde, sauf lui. Le Maître du jeu ne pouvait pas lui infliger cela. Ce n’était pas possible.
Ethan la regardait, un sourire confiant sur les lèvres. Ses cheveux roux ondulaient dans l’eau et ses yeux mordorés brillaient de malice. Il tenait dans sa main une hache d’argent et son torse musclé n’était pas couvert. Il ne portait aucune armure, à part de simples jambières de métal.
Le cœur d’Illy s’affola. Elle ne voulait pas le tuer encore une fois. Ce garçon ne lui avait jamais rien fait. Quand elle était arrivée dans l’équipe, il l’avait accueillie chaleureusement et l’avait toujours protégée. Jamais, il ne l’avait trahie. Jamais, il ne l’avait fait souffrir. Il était toujours le premier à prendre soin d’elle, à la consoler quand elle en avait besoin. Et elle l’avait tué. Pour un pauvre item. Pour une simple puissance. Puissance qu’elle n’avait pas utilisée ensuite, trop dégoutée par son geste. Il était mort pour rien.
Un triton, qui paraissait être l’arbitre, se mit entre les deux combattants et s’écria d’une voix forte :
« Bonjour, cher peuple des Mers ! Nous nous réunissons aujourd’hui pour un grand combat composé de trois duels à mort. Le premier opposera cette magnifique Métamorphe, appelée Illyana, au puissant serviteur du Roi, Ethan le Barbare ! Que le combat… commence ! »
Dès que l’arbitre eu prononcé ces mots, Ethan se rua vers la Métamorphe. Il leva sa hache et l’abattit violemment sur la jeune fille. Celle-ci se jeta au sol pour esquiver l’attaque, puis se releva à une vitesse sidérante pour frapper à son tour. Mais quand elle voulut enfoncer son épée dans l’épaule du joueur, la culpabilité revint comme une claque, la faisant arrêter son geste un court instant. Profitant de ce moment d’hésitation, Ethan ouvrit une grande plaie dans son bras. La Métamorphe grimaça de douleur et tenta de reculer pour se reprendre en main, mais le Barbare ne lui en laissa pas le temps et enchaina attaque sur attaque, l’obligeant à se défendre sans cesse. Illyana s’épuisait peu à peu. Elle n’en pouvait plus. Le joueur combattait terriblement bien. Trop bien même, pour être celui qu’elle connaissait. Ethan n’avais jamais été très puissant, il était un Barbare comme un autre, se débrouillant comme il pouvait. Il ne possédait pas cette grâce et cette habilité, qui n’avait rien à envier à celle d’Aypierrre. La personne devant elle ne pouvait être son ancien ami. Même cette lueur sauvage dans les yeux ne lui ressemblait pas. Il fallait qu’elle réagisse. Il n’était pas question qu’elle meure de la main d’un pauvre IA.
La Métamorphe changea brusquement de forme, se transformant en souris. Elle voulut passer derrière son adversaire, mais celui-ci, comme s’il savait ce qu’elle avait prévu de faire, enfonça son épée devant la tête du rongeur. Illyana ne put que reculer rapidement pour éviter un autre coup du joueur. Elle se métamorphosa à nouveau, prenant la forme de l’araignée géante. Elle envoya ses pattes pointues sur le garçon, mais encore une fois, Ethan ne parut pas surpris et les évita avec facilité. La jeune fille ne comprenait pas. Il paraissait connaitre toutes ses transformations et toutes ses actions en avance. Il paraissait tout simplement imbattable.
Le joueur se jeta sur l’araignée géante et enchaina plusieurs coups de hache à l’insecte qui ne pouvait esquiver à cause de sa corpulence. Illyana hurla de douleur, l’arme taillant de profondes blessures dans son corps. Elle reprit sa forme de sirène avec le peu de forces qui lui restait et essaya d’attaquer son ennemi par surprise. Mais le garçon avait déjà reculé, en prévision de la transformation. Il s’élança sur la jeune fille et leva son énorme arme. Quand il frappa brutalement, la joueuse se protégea de son épée. Mais le coup d’une violence extrême brisa sa lame qui tomba au sol dans un tintement métallique. Désarmée et perdue, Illyana utilisa sa dernière chance. Elle attrapa rapidement la dague noire et l’envoya sur son adversaire. Mais celui-ci s’effaça avec facilité, connaissant déjà l’intention de son ennemie, et glissa la lame de sa hache sous le cou de la jeune fille sans qu’elle ne puisse faire un geste. Il murmura d’une voix doucereuse :
« Tu as perdu, pauvre joueuse. Tu ne pourras jamais me massacrer, désolé. »
La Métamorphe resta bouche bée. Elle avait compris. C’était contre lui qu’elle menait ce combat depuis le début. Elle n’avait jamais eu aucune chance de vaincre. Il savait tout sur elle, il avait toutes les cartes en main. Elle avait peut-être perdu, mais elle n’en avait pas honte.
On ne pouvait gagner contre un tricheur. 

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui! Je souhaitais vous prevenir qu'a partir de la semaine prochaine je serais absente pendant trois semaines, car je serais partie en vacances. Je ne pourrais donc pas poster de chapitre avant mon retour. J'espère que mes nombreuses absences ne vous dérangent pas. ^^
Sur ce je vous dis, besoux, et à la prochaine!

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4 commentaires:

  1. Ilo... Si tu tiens tellement à mourir tu peux le dire tu sais...L'excuse des vacances...Laisse-moi rire ! Tu as de la chance : j'ai pris mes pilules mais je ne suis pas sûre qu'elles tiennent longtemps. x)
    Ce chapitre est tout simplement magnifique ! C'est super bien décrit (Mes conseils ont portés leurs fruits ^^) ! On peut vraiment se mettre à la place des personnages c'est super !
    Je... je... je vais te tueeeeer ! Tu dis que tu va partir en vacances, que tu ne pourras pas poster de chapitres avant 3 semaines et tu crois que je vais rester calme ? Si tu es encore ne vie pour lire ce commentaire ce n'est que parce que j'ai envie de lire l'OS que tu m'as promis ! Tu n'as pas intérêt à le poster trop tard sinon je te retrouverais et je te torturerais jusqu’à ta mort ! Mouhahahahaha !
    Je t'ai préparé une super logique des couples ! Tu m'as tendu tellement de perches, j'ai bien été obligée de m'y accrocher ! ;p Commençons :
    Maintenant c'est officiel ! Brioche a cassé avec Siphano ! Je crois qu'il s'en fou : Il s'est déjà remis avec Léo ! Brioche adore Illyana ce n'était pas une surprise. Azenet a craqué sur Aypierre mais quel dommage, il n'a pas pu lui dire avant d'être emmené à l’abattoir. Heureusement pour lui c'est réciproque ! Y'a qu'à voir la façon dont Aypierre le dévore des yeux !
    Juste une chose à dire : Quand j'ai lu : "Pourquoi cela lui faisait-il du mal de la voir rire en compagnie de Léo ? Il le savait, au fond de lui, mais ignora la voix qui murmurait dans son esprit et continua son chemin." J'ai vraiment cru que tu avais mis cette phrase pour moi et que Siph' avait eu un coup de foudre sur Léo. xD
    *reprend ses pilulles* Essaye de ne pas trop nous faire attendre pour le prochain chapitre ^^ J'espère que tu n'as pas trop de mal avec l'OS ;)
    Des poutous ! <3

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    1. Mais je pars réellement en vacances! Pourquoi tu ne me croies pas? ^^
      Tu m'as tuée avec ta logique de couple xD, l'une des meilleures je crois. Surtout le coup de "Il s'est déjà remis avec Léo!" Je n'y avais pas pensé! :P
      Je vais tout faire pour finir l'OS à temps! (Je n'aimerais pas que tu mettes en marche tes plans machiavéliques...)
      Merci pour ce commentaire! Je te nem <3

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  2. J'adore vraiment ton histoire ilo, (et ouais j'ai lu ça au moment ou tu l'a posté mais j'ai oublié de mettre un com' surtout que le site en allemand ne m'aide pas >.>)

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  3. Pfffff t'es sérieuse a faire autant de pose?
    Parce que quitte a avoir un chapitre plus long, AUTANT AVOIR LE COMBAT D'AZ BORDEL

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