dimanche 22 juin 2014

The Heroes of the Death: Chapitre 31

Hellow tout le monde!
On se retrouve ce dimanche pour la suite de The Heroes of the Death! La voici:

Chapitre 31

Lorsque le Roi des Mers avait quitté la pièce, Illyana était immédiatement sortie de la salle de banquet. Elle devait aller rejoindre son ami. Aller s’excuser. La Métamorphe courut dans les couloirs, bousculant négligemment les serviteurs qui passaient. Elle ne voulait pas le perdre. Et s’il ne lui pardonnait pas ? La jeune fille s’arrêta brusquement devant la porte d’une chambre. La chambre de Brioche. Elle prit une grande inspiration, tentant de calmer la nervosité qui apparaissait dans son cœur. Comment cela se faisait-il qu’elle s’inquiétait tant pour une personne ? Ce n’était qu’un simple ami après tout. Son seul ami. La vérité lui arriva en face comme une claque. Si elle perdait Brioche, elle n’aurait plus personne d’autre à qui se confier, sur qui compter. Et dans ce jeu, le plus dangereux était sûrement la solitude. Car elle apportait avec elle la folie.
Illyana essaya à nouveau de calmer les battements de son cœur. Prenant son courage à deux mains, elle toqua timidement à la porte en appelant :
« Brioche ? »
Personne ne lui répondit. Mais la jeune fille entendait des sanglots provenant de l’intérieur. Elle posa sa tête contre la porte et dit :
« Je suis désolée, Bri’. Je ne voulais pas te blesser. Je… Je t’aime beaucoup… »
Une voix faible s’éleva de la suite :
« Pourquoi as-tu dis ça alors ? Pourquoi as-tu déclaré que personne ne comptait pour toi ?
-        Parce que… Je voulais simplement faire comprendre à Arthur… Que je n’avais pas besoin de lui. Que je n’avais besoin de personne. Mais… Mais je me rends compte à quel point j’ai tort. J’ai besoin de toi. »
Un lourd silence suivit sa déclaration. Puis, des bruits de pas se firent entendre dans la suite. Illyana vit la porte s’entrouvrir, laissant juste apercevoir une partie du visage de Bri’. Il avait les yeux rouges et humides, la lèvre inférieure tremblante. Il répondit d’une petite voix :
« Comment veux-tu que je te croies ? »
Brioche ouvrit la porte et s’approcha d’elle. Il planta son regard interrogateur dans le sien. La Métamorphe tourna la tête, ne sachant pas quoi répondre. Elle tordit ses mains dans son dos, embarrassée.
« Illy ? »
Elle releva lentement son visage, regardant les deux magnifiques prunelles de quartz qui la fixaient. Soudain, une certitude s’imposa à elle. Elle savait comment le lui prouver. Elle le savait depuis le début. Sur ses lèvres apparut un sourire.
« Comme cela. »
Elle approcha ses lèvres de celles de Brioche et l’embrassa fougueusement. Le bonhomme de pain d’épices recula, surpris, mais Illyana noua ses bras autour de son cou, l’attirant à elle. La jeune fille continua de bouger doucement les lèvres contre celles de Bri’, goûtant au baiser sucré et délicieux. Brioche ferma les yeux à son tour répondant à la passion de la Métamorphe. Il glissa ses mains sur ses hanches, la serrant contre lui.
Tout à coup, elle se détacha précipitamment de son étreinte caressante. Elle ouvrit les yeux, ses joues s’enflammant, et balbutia en reculant :
« Je… Je suis désolée… Je sais pas ce qui m’a pris… Ex… Excuse-moi… »
Avant même que Brioche ne puisse la retenir, elle s’enfuit en courant. Le rouge envahit son visage tandis qu’elle s’élançait jusqu’à sa propre chambre. Comment avait-elle pu faire cela ? Comment avait-elle osé ? La Métamorphe ouvrit la porte de sa suite, s’enfermant à l’intérieur. Elle s’assit sur le lit, les jambes tremblantes. Prenant sa tête entre ses mains, elle ferma les yeux et tenta de calmer toutes les émotions qui se bousculaient dans sa tête. Sans y faire attention, elle passa sa langue sur ses lèvres charnues. Le gout sucré du baiser se répandit dans sa bouche, lui rappelant à nouveau le doux moment. Elle se laissa tomber sur son lit, poussant un soupir. Elle était épuisée et n’en pouvait plus. Ses yeux se fermèrent d’eux-mêmes et alors qu’elle sombrait dans le sommeil, le goût revint à nouveau sur son palais.
Sucré et enivrant.
Le goût de l’amour.

***

Azenet tenta de se relever pour apercevoir le visage appartenant à cette voix, mais la personne enfonça encore plus son pied dans son dos, lui arrachant un gémissement de douleur. Elle déclara :
« Tu es tellement nul. Tu ne mérites même pas que ce soit moi qui t’achève. »
Elle attrapa le Fantôme et le redressa brusquement. Glissant une lame tranchante sous son cou, elle murmura :
« Tu ne t’attendais pas à ce que notre rencontre se fasse ainsi, n’est-ce pas ? »
Azenet tourna légèrement la tête et vit celui qui l’attaquait. Son corps se figea d’effroi et il dit, d’une voix inaudible :
« Theak ? Theak, tu es… vivant ? Qu’est-ce que… »
La lame s’enfonça légèrement dans le cou du joueur, faisant couler un peu de sang sur la tunique immaculée du Fantôme.
« Pas de questions. Je parle, tu écoutes et tu souffres. C’est le gentil Maître du jeu qui m’a offert cette nouvelle vie. Pour que je me venge.
-        Te venger ? De qui ?
-        Tais-toi, j’ai dit ! cria le Chevalier en augmentant la pression sur sa gorge. Donc, oui, pour me venger. De toi, chéri. Pourquoi, voudrais-tu dire. Eh bien, c’est à cause de toi que je suis mort. A cause de ton imbécillité et de ton inconscience. Mais, comme tu le penses en ce moment même, c’est moi qui ai décidé de te sauver en me sacrifiant, alors quelle est ta faute ? C’est de vouloir abandonner. Je t’ai donné ma vie et maintenant tu décides de vivre tranquillement en attendant ton heure. Tu te rends compte, Aze ? Tu n’es qu’un lâche, tu n’honores même pas l’offrande que je t’ai faite. Tu es un peureux. C’est pour cela, aujourd’hui, je suis venu reprendre mon cadeau. Il n’y a pas de raison que tu en profites alors que tu ne le mérites même pas.
-        Tu… Tu veux me tuer ? Ca ne te ressemble pas, Theak ! Je…
-        Tu ne sais pas qui je suis, Azenet. Et encore moins de ce dont je suis capable. Je ne veux pas, je vais te tuer. Un dernier mot, chéri ?
-        Tu… Tu as raison. Je suis minable, déclara le Fantôme en baissant les yeux. »
Theak éclata d’un rire froid et enfonça lentement son épée dans le cou du joueur. Tout à coup, alors qu’Aze pensait son heure venue, le Chevalier disparut. Le jeune homme brun regarda derrière lui, cherchant son agresseur des yeux, mais son regard ne croisa que celui d’Aypierre. Celui-ci arrivait en courant vers son ami, un air inquiet sur le visage.
« Azenet ? Azenet, ça va ? »
Le Fantôme ne répondit pas, se laissant tomber entre les bras de l’homme. Son sang coulait lentement, mêlé à ses larmes salées.
« Aze ?! Qu’est ce qui t’es arrivé ?
-        Theak… Tout est de ma faute. Tout. »
Le Chevalier fronça les sourcils et tenta de fermer la blessure avec un bandage. Il ne comprenait pas. Quelque instant plus tôt il avait vu son ami se faire attaquer par un joueur, puis celui-ci avait subitement disparut, laissant Azenet seul et désemparé.
« Qui était celui qui t’a agressé ?
-        Theak. Il a raison. Je dois mourir. Tue-moi, je ne mérite pas de vivre ! »
Secouant la tête, Pierre prit son faible ami dans ses bras et marcha vers sa chambre. Siphano lui avait parlé de quelque chose de semblable. Que les morts étaient revenus. Qu’ils les menaçaient. Il serra les dents. Une telle torture mentale devait être insupportable pour Aze. Il était maintenant complétement perdu. S’il revoyait Theak, il deviendrait fou. Et se suiciderait. C’était maintenant à lui, Aypierre, de le protéger.
Le déposant sur le lit, il s’assit à ses côtés. Le Fantôme s’était assoupi. Mais sa tête ne portait pas le paisible visage du sommeil. Il était crispé et malheureux. Le Chevalier poussa un soupir et couvrit le corps de son ami d’une couverture. Puis, il s’allongea à son tour et s’endormit.
Dans son sommeil, hanté par les cauchemars, résonnèrent sans cesse les mêmes questions :
Sont-ils revenus ?
Et qui vont-ils lui prendre, encore ?

Voilà! Ce chapitre est peut-être un peu court, mais je ne souhaitais pas faire la transition jour/nuit en milieu de chapitre. Ca aurait été un peu étrange. J'espère que le chapitre vous a plu!
On se retrouve dimanche prochain pour une suite plus mouvementée!
Besouux! 

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lundi 16 juin 2014

The Heroes of the Death: Chapitre 30

Bonjour à tous!
Après cette looongue pause, je reviens enfin pour vous poster le Chapitre 30! J'espère que cette pause ne vous à pas dérangés. :)
Bonne Lecture!

Chapitre 30

 « Espèce de traitresse ! Je vais te tuer ! »
Arthur se jeta sur Illyana et serra ses mains autour de son cou. Dans ses yeux brillaient la haine et le dégout. Mais alors qu’il enfonçait ses ongles dans la peau de la Métamorphe, il se retrouva brusquement projeté en arrière. La jeune fille se releva, un sourire narquois sur le visage, et l’attrapa par le col. Elle planta son regard dans le sien et murmura :
« Nous sommes dans une safe zone, mon petit Arthur. Un champ de force protège chaque joueur. Ton attaque ridicule n’a servi à rien à part à afficher encore plus ta faiblesse d’esprit et ta médiocrité. Enfin, je veux bien t’avouer que cela m’étonne de te voir encore vivant. Je te pensais déjà découpé en rondelles par les ours de première zone.
-        Comment oses-tu me parler ainsi après ce que tu nous as fait ? Comment fais-tu pour te montrer aussi indifférente ?
-        Oh, tu parles encore de cette vieille affaire ? Pff… Tu devrais oublier le passé, Arty. Ethan est mort et c’est ainsi !
-        C’est à cause de toi qu’il est mort ! C’est toi qui l’as tué ! Nous te faisions confiance, Illy, et tu nous as trahis !
-        Eh ouais, mon pote, c’est comme ça que ça marche dans ce jeu ! Désolé de te décevoir, mais on n’est pas dans le monde des Bisounours, ici. Il me fallait le Cœur du Maitre des Ombres et Ethan ne voulait pas me le filer. Parce que c’était soi-disant lui qui avait tué le boss secondaire. Alors j’ai fait ce qu’il fallait, je l’ai récupéré en faisant le moins de dégâts possible.
-        Le moins de dégâts possible ?! Tu… Tu es inhumaine, Illyana. Ca ne te fait rien de tuer tes amis ?! De massacrer des gens qui avaient confiance en toi ?
-        Je n’ai pas d’amis ici. Nous sommes tous ennemis. Nous faisons peut-être des équipes, mais à la fin, nous nous entre-tuerons tous. Toute cette amitié entre participants est fausse et hypocrite. Mets ça dans ta petite tête si tu veux parvenir à la fin du jeu. »
Arthur recula avec horreur, portant sur la Métamorphe un regard incompréhensif et haineux. Brioche, derrière elle, balbutia tristement :
« Tu… tu n’as pas d’amis ? »
Ses yeux se remplirent de larmes et il commença à trembler.
« Tu n’aimes personne ? »
Illyana se tourna et s’approcha de lui. Elle tenta de s’excuser maladroitement et voulut poser une main amicale sur son épaule, mais le bonhomme de pain d’épices la repoussa et recula en hurlant :
« Une amitié fausse et hypocrite ?! Je ne suis vraiment rien pour toi ? Moi… Moi qui croyais que tu m’aimais bien ! »
 Brioche se retourna et s’enfuit en courant, les larmes ruisselant sur ses joues. Illyana voulut le suivre, mais Siph l’arrêta et dit :
« Tu as déjà assez foutu le bordel pour le moment. Tu vas m’expliquer exactement ce que raconte ce jeune homme. Et après on verra si tu es vraiment digne de confiance, traitresse. »
Le terme irrita la Métamorphe qui le poussa brutalement et cria :
« Je ne dois des explications à personne ! Et surtout pas à toi ! Laissez-moi tranquille ! Vous croyez que c’est simple pour une pauvre lycéenne comme moi de se battre ? De savoir quoi faire ? Arrêtez de me remettre ma culpabilité en face tout le temps ! Je ne suis pas inhumaine. Simplement, je survis. »
Elle se détourna du Guerrier et avança vers le roi Jahl’ir. Celui-ci regardait toute la scène se dérouler avec un fin sourire sur les lèvres. Ces joueurs étaient tous désorientés dans ce monde. Ils perdaient tous la tête, les uns après les autres, pour devenir des machines à tuer. C’était tellement plaisant de les observer se battre. Ils étaient si ridicules et impuissants.
Illyana s’adressa au roi des Mers d’une voix agacée :
« Nous allons peut-être enfin pouvoir découvrir ce que vous nous demandez en échange de la porte vers la nouvelle zone ?
-        La porte vers la nouvelle zone ? demanda Chiara, Vous pourriez juste nous expliquer ce que nous avons raté, pour que nous comprenions un minimum la discussion ?
-        Bon, globalement, on cherche la suite du jeu parce que la bouffe ici est empoisonnée. Jahl’ir sait où se trouve la porte qui mène à la prochaine zone, mais il veut quelque chose en échange, expliqua Léozangdar, Et ça fait bien une heure que nous tentons de découvrir ce qu’il veut, parce que dès qu’il ouvre la bouche y’a un truc qui l’interrompt. Alors, Majesté, quel est votre marché ?
-         Vous savez, mon peuple et moi sommes très friands de compétitions et de combats. C’est quelque chose qui nous a toujours beaucoup amusés. J’aimerais donc qu’en échange de la porte, trois d’entre vous combattent et gagnent contre trois de mes sujets dans des duels. Des duels à mort, bien sûr.
-        Nous avons déjà vu plus compliqué, rétorqua Aypierre, vous êtes certain d’avoir fait le tour de vos conditions ? Cela m’étonne que la porte nous soit donnée avec une telle facilité.
-        Non, il y en a une dernière. Ce seront mes sujets qui choisiront ceux qu’ils veulent combattre. Vous voulez réellement cette porte ? Vous ne pourrez plus revenir sur votre décision, ensuite. »
Illyana jeta un regard aux autres joueurs et tous hochèrent la tête, sauf Azenet. Il s’écria :
« Ce sera sans moi et Aypierre ! Nous ne combattrons pas, un point c’est tout !
-        Si l’une des teams présente n’est pas d’accord, je ne peux pas conclure notre marché, excusez-moi, répondit le roi des Mers. »
La Métamorphe s’avança vers le Fantôme et dit :
« Si nous ne trouvons pas la porte rapidement, nous ne pourrons pas survivre ici. La nourriture est empoisonnée et nous sommes comme prisonniers. Cet endroit n’est pas un simple safe zone. C’est aussi un piège. Alors si tu n’acceptes pas le marché, nous mourrons tous. Tu es toujours sûr de ton choix, Azenet ? »
Le jeune homme hésita et jeta un regard interrogateur vers Aypierrre. Il ne savait pas quelle décision prendre. S’il acceptait, ils se mettraient tous deux en danger. Mais s’il refusait, d’après Illyana, ils mourraient de faim. Le Chevalier hocha la tête à l’endroit de son ami. Ils devaient se battre. Une dernière fois.
Le Fantôme prit donc sa décision :
« C’est d’accord. Nous nous battrons pour la porte vers la prochaine zone. Mais quand nous aurons gagné je souhaite que vous nous libériez de ce Palais et que nous puissions nous nourrir d’aliments sains.
-        J’accepte votre demande. Vous découvrirez demain ceux qui seront choisis pour le combat et vos adversaires. Enfin, je vous laisse maintenant. Vous pouvez vous déplacer librement dans le Palais de Mers, à condition de ne pas en sortir sans surveillance. Demandez à mes gardes si vous souhaitez une chambre. Sur ce, bonne soirée. »
Le roi se détourna et quitta la grande pièce, ses gardes sur les talons. Dès qu’il disparut de leur vue, les joueurs se séparèrent chacun de leur côté. Aypierre s’approcha d’Azenet et lui proposa :
« T’as l’air complétement crevé, Aze. Prends-toi une chambre et repose-toi, on ne sait jamais ce qui pourrait se passer demain. Moi, je vais discuter avec Siph, il sait peut-être de trois trucs sur cet endroit qui pourraient nous être utile.
-        Tu penses que nous serons choisis pour combattre, demain ?
-        Je n’en sais rien. C’est possible, répondit Pierre en posant ses mains sur les épaules du Fantôme, Mais arrête de t’inquiéter. Ce n’est qu’un petit combat, même pas un boss. Et puis, il y a beaucoup de joueurs. Il n’y a pas de raisons pour que ça tombe sur toi, n’est-ce pas ? »
Azenet hocha mollement la tête, sans trop y croire. Il savait que son ami faisait tout pour le rassurer, mais ses tentatives étaient vaines. Il avait trop peur de se battre. La mort de Theak l’avait complétement chamboulé et il était devenu méfiant, peureux et faible. S’il était choisi pour le combat, il serait perdu. Il n’avait aucune chance.
Le Fantôme poussa un soupir intérieur et s’éloigna à pas lents du Chevalier. Il avança dans les couloirs bleutés du Palais, à la recherche d’une sirène qui pourrait le renseigner. Alors qu’il marchait depuis un petit bout de temps dans les salles vides, il sentit soudainement des mains le pousser violement au sol. Avant même qu’il ne puisse se retourner, l’inconnu écrasa son pied contre le dos du Fantôme. Il gémit de douleur, mais son cri s’arrêta net quand il entendit la voix de la personne résonner :
« Un incapable. Tu me fais vraiment honte, Azenet. Après tout ce que j’ai fait pour toi… »
Cette voix, il la connaissait bien. Trop bien même.
Mais cette voix avait été réduite au silence éternel depuis longtemps.
C’était impossible.  

Voilà c'est tout pour aujourd'hui! J'espère que ce Chapitre vous a plu, on se retrouve Dimanche pour la suite de l'histoire. 
N'hésitez pas à mettre un commentaire!
Sur ce je vous dis bye bye et à la prochaine! Bisoux <3

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